dc.creatorDelahaye, Olivier
dc.date2014-04-13T22:46:01Z
dc.date2014-04-13T22:46:01Z
dc.date2008-10-31
dc.date.accessioned2022-10-28T00:57:54Z
dc.date.available2022-10-28T00:57:54Z
dc.identifierhttp://hdl.handle.net/10872/5908
dc.identifier.urihttps://repositorioslatinoamericanos.uchile.cl/handle/2250/4940048
dc.descriptionSur les aspects essentiels de la réforme, la mise en oeuvre de la LTDA montre donc une continuité avec celle de la LRA de 1960, malgré les déclarations en termes de rupture des dirigeants nationaux lors de la déclaration de guerre au « latifundio » des premières années du gouvernement actuel. Qu’il s’agisse de la certification des exploitations, de l’affectation y l’attribution des terres de la réforme agraire, l’on constate des rythmes similaires. Les obstacles aux cessions pures et simples des parcelles de réforme agraire se maintiennent, de même que la pratique illégale de ces dernières au niveau local. Il est à craindre que les fundos zamoranos subissent le même sort que les expériences antérieures d’exploitations collectives. La seule nouveauté est l’introduction de l’impôt foncier, mais il ne semble pas viable dans la modalité centralisée prévue dans la LTDA. La concentration de la tenure, sa précarité, et l’existence d’une ample extension de terres publiques, conséquences du cadre historique de formation des droits fonciers au Venezuela , se sont maintenus jusqu’aux années actuelles.
dc.languagefr
dc.subjectVenezuela
dc.subjectReforme agraire
dc.titleVenezuela: D'une loi agraire a l'autre
dc.typeArticle


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