dc.creatorGirot Pignot, Pascal Oliver
dc.date.accessioned2019-08-05T15:20:25Z
dc.date.accessioned2022-10-19T23:32:53Z
dc.date.available2019-08-05T15:20:25Z
dc.date.available2022-10-19T23:32:53Z
dc.date.created2019-08-05T15:20:25Z
dc.date.issued1993
dc.identifierhttps://www.jstor.org/stable/23591812
dc.identifierhttps://hdl.handle.net/10669/78490
dc.identifier.urihttps://repositorioslatinoamericanos.uchile.cl/handle/2250/4519360
dc.description.abstractLe Costa Rica jouit d'une réputation mondiale pour sa politique exemplaire de conservation, y ayant consacré plus de 20 % de son territoire national sous forme de parc naturels, réserves biologiques et forestières. Cette « Mecque écologique » d'Amérique latine attire touristes, écotouristes et pèlerins verts de tout genre. Le tourisme est d'ailleurs devenu depuis la fin des années quatre-vingt une des principales sources de devises étrangères du pays. Cette politique de conservation a permis à ce petit pays (51 000 km2, soit un dixième de la France) de l'isthme centro-américain de capitaliser sur son immense richesse biologique. La biodiversité est une des particularités de ce pays tropical où se combinent des conditions de relief et de climat uniques (12 zones de vie et 8 zones de transition selon la classification climatique de Holdridge) favorisant l'endémisme de nombreuses espèces de plantes et de faune.
dc.languagefr
dc.rightshttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 Internacional
dc.sourceRevue Tiers Monde; vol 34(134), pp. 405-421
dc.subjectParques Nacionales
dc.subjectDesarrollo rural
dc.subjectGeografía
dc.subjectCosta Rica
dc.titleParcs Nationaux et Développement Rural au Costa Rica: Mythes et Réalités
dc.typeartículo científico


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