masterThesis
Aninhá Vaguretê: reflexões simbólicas para a Educação Física no ritual do Torém dos índios Tremembé
Fecha
2019-09-04Registro en:
PEREIRA, Arliene Stephanie Menezes. Aninhá Vaguretê: reflexões simbólicas para a Educação Física no ritual do Torém dos índios Tremembé. 2019. 182f. Dissertação (Mestrado em Educação Física) - Centro de Ciências da Saúde, Universidade Federal do Rio Grande do Norte, Natal, 2019.
Autor
Pereira, Arliene Stephanie Menezes
Resumen
J'invoque pour être présent dans cette œuvre les «enchantés», pour nous inspirer de
manière sacrée. Et avant de lire, je vous invite à prendre un peu de la boisson
traditionnelle du peuple Tremembé, le mocororó (la boisson hallucinogène, à base de
noix de cajou aigre), pour entrer dans l’univers profane. Le présent travail entre dans la
culture indigène, plus particulièrement chez les Tremembé du grand Almofala, dans la
municipalité d’Itarema, dans l’État de Ceará, où il réalise une étude sur le symbolisme
entourant le rituel du Torém. La compréhension phénoménologique de cette étude
(MERLEAU-PONTY, 1994) permet de comprendre comment les Indiens Tremembé
ressentent leurs expériences avec le Torém (le rituel sacré et le principal signe
diacritique de l’ethnie). Le texte justifie son importance en tant que moyen d'atténuer les
débats de recherche sur les questions autochtones en éducation physique, où nous avons
un nombre limité de chercheurs et même s'il n'y a pas de recherche sur Tremembé dans
la région. Par conséquent, dans ce travail de thèse, les questions suivantes sont
soulevées: Quels sont les symboles que ce rituel implique? Quels sens esthétiques
Tremembé attribue-t-il à Torém? Quelles significations et implications symboliques le
rituel Torém peut-il apporter à l'éducation physique? L’étude vise à dévoiler les
réflexions symboliques de l’éducation physique dans le rituel du Torém. En plus
d’identifier l’esthésie attribuée par les Tremembé en relation avec le rituel; et analyser
les significations que Torém peut apporter à l'éducation physique. L’entrée de ce travail
se compose des histoires vécues par moi, entrelacées de la continuité des recherches
universitaires précédentes. Nous avons utilisé pour la description de
l'approfondissement du récit historique de ce peuple et du rituel, la recherche des
auteurs Oliveira Júnior (1998; 1997), Gondim (2016; 2015; 2010; 2009), Valle (2005a;
2005b; 2004; 1993) et Messeder (2012). Pour comprendre le symbolisme sacré et
profane, nous nous baserons sur Eliade (2010; 1998; 1991), mais pour décrire plus en
détail le sens des symboles, nous utilisons les écrits de Chevalier et Gheerbrant (1994);
nous ferons référence à la conceptualisation de la culture et de la mémoire orale à
travers Zumthor (2010; 2007; 1993); Pour comprendre le concept de rituel, nous allons
entrer dans les travaux de Turner (2005; 1982) et Peirano (2003). Et pour soutenir la
phénoménologie et le concept d'esthésie, nous apportons au texte l'auteur MerleauPonty (2006; 1948/2004; 1945/1994). Pour la symbologie rituelle, la description des
scènes, des gestes, des émotions, de la musique, du langage, des costumes, des
ornements et des expressions corporelles est révélée, ainsi que d’autres symboles
constituant le rituel basé sur le récit de neuf chef, page, dirigeants, enseignants et un
Indien). Ainsi, nous étudions les symboles du rituel basés sur une perception en tant que
provenance subjective du savoir, marques distinctives d’une culture de résistance. En
prenant pour point final la corporeity de ce processus et ses implications pour
l’éducation physique, lancer le débat pour une réflexion interculturelle dans la région.