| dc.description.abstract | En 2000, l´écrivain paulista Ferréz lance son deuxième livre et premier romance, Capão Pecado. Prose dont le récit destine à raconter la trajectoire de Rael, un jeune habitant de la zone sud paulista, plus spécifiquement la hyper-périphérie Capão Redondo. L´oeuvre semble avoir objectifs ambitieux: pas seulement exhiber les fractures sociales, la pauvreté, la violence et le délaissé publique en relation à cet adresse peu connu, comme, d´une façon plus souterrain, mais encore contondant,d´utiliser la littérature et son ancien format, le livre, comme une stratégie d´agglutiner les discours capables de suspendre les cristallisées opinions esthétiques de lecteur. Il y a en Capão Pecado une interférence des voix, d´autres qualités d´auteur, des images photographiques, que nous fait soupçonner d´une collectivité énonciative que ne se restreint pas seulement au livre en question.Cette recherche prétend, ainsi, investiguer dans quelle mesure Capão Pecado, encandré pour plusieurs critiques dans la hétérogène geration 90 ou, pour plusieurs d´autres, dans la Littérature Marginal, présente une jonction indissociable de la littérature avec d´autres moyens comme la photographie et, de quelle manière, se sert au discours collectif et civilisateur du mouvement activiste contemporain de la périphérie. Giorgio Agamben, Roland Barthes, Rosalind Krauss, Maria Rita Kehl, Loïc Wacquant et Antonio Rafael Barbosa parmi d´autres, nous ont aidé,théoriquement, dans la lecture et la réflexion sur l´oeuvre en question. | |
