dc.contributorGuilherme Massara Rocha
dc.contributorGilson de Paulo Moreira Iannini
dc.contributorAngela Maria Resende Vorcaro
dc.creatorCamila Ferreira Sales
dc.date.accessioned2019-08-11T14:57:34Z
dc.date.accessioned2022-10-03T22:36:07Z
dc.date.available2019-08-11T14:57:34Z
dc.date.available2022-10-03T22:36:07Z
dc.date.created2019-08-11T14:57:34Z
dc.date.issued2016-02-29
dc.identifierhttp://hdl.handle.net/1843/BUBD-AWFLTN
dc.identifier.urihttp://repositorioslatinoamericanos.uchile.cl/handle/2250/3806299
dc.description.abstractCe que Lacan et Freud nous a laissé concernant la primordialité de lexpérience de langoisse à la clinique, exige que nous, les psychanalystes, ne reculons pas face aux nouvelles recherches sur cette affection. Limportance davancer dans la production théorique à partir des déplacements, défis, interrogation, soupçons, inquiétudes, et dautres variées conduisent à la formulation de nouveaux problèmes sur langoisse . Dans ce cas linspiration vient de lart de la performance dont les spécificités ont été convoquées à lutiliser comme ressources pour penser cette affection dans la clinique. Mais pas seulement cela. Le domaine des arts offre aussi un espace de circulation pour la théorie psychanalytique, ce que peut être bien productif pour les recherches en psychanalyse. Il ne faut que respecter la particularité épistémologique et méthodologique de chaque savoir, sans alors réduire lart à la théorie psychanalytique et vice-versa. Ayant comme soutient ces prémisses, le travail a été développé en trois parties. La première est la reprise du concept dangoisse chez Freud, afin de vérifier sur quels points ce concept a un rapport avec la dynamique pulsionnelle en jeu dans le procès de sublimation. Après avoir trouvé lorigine de langoisse dans le trauma de la détresse, on peut faire un lien entre cette affection et la force créative des artistes, ainsi que lidentification du spectateur à des performances que substantialisent dune certaine manière ce fait traumatique. En deuxième partie labordage de langoisse est dirigé par la théorie lacanienne et le flirt avec lart se fait par les irreprésentables : das Ding et lobjet a. La formulation de Lacan sur das Ding ouvre des possibilités intéressantes pour penser lopacité de la création artistique et la formalisation postérieure de lobjet a. Finalement, larticulation de cette affection avec la dimension du corps nous mène à lobservation de la performance dont lappel à la dimension corporelle demande un regard différent. Peut-être un regard dextranéité, puisque la performance fait remarquer un corps plus difforme que beau, plus réel quimaginaire. Un corps que, si lon suit les indications de Lacan en ce qui concerne langoisse freudienne, est Unheimlich. Enfin, on conjecture que langoisse, au même temps une raison possible de sublimation, apparait aussi comme un effet dun art dont notable caractéristique nest pas exactement apaiser
dc.publisherUniversidade Federal de Minas Gerais
dc.publisherUFMG
dc.rightsAcesso Aberto
dc.subjectArte da performance
dc.subjectPsicanálise
dc.subjectSublimação
dc.subjectObjeto a Corpo
dc.subjectAngústia
dc.titleA experiência da angústia na clínica psicanalítica e na arte da performance
dc.typeDissertação de Mestrado


Este ítem pertenece a la siguiente institución