Tesis
Como sair da ilha da minha consciência: Gilles Deleuze e uma crítica à subjetividade transcendental em Edmund Husserl
Fecha
2007-04-27Registro en:
JARDIM, Alex Fabiano Correia. Como sair da ilha da minha consciência : Gilles Deleuze e
uma crítica à subjetividade transcendental em Edmund
Husserl.. 2007. 219 f. Tese (Doutorado em Ciências Humanas) - Universidade Federal de São Carlos, São Carlos, 2007.
Autor
Jardim, Alex Fabiano Correia
Institución
Resumen
Le travail a comme théme la présentation d une critique à la phénoménologie
d Edmund Husserl, à travers la pensée de Gilles Deleuze. Tout le parcours
philosophique de ces deux auteurs a été remarquable, étant donné le fait que
chacun à sa propre manière, a parlé de la problématique du sujet de façon
différente, tous les deux possédant le problème de la genèse ( tantôt active, tantôt
passive) comme champ conceptuel pour l établissement d une « image de la
pensée ». Une série de conversations a possibilité le développement du théme,
par exemple, l importance de la philosophie de Gilbert Simondon, pour que
Deleuze structure sa critique par rapport à la notion de champ transcendantal ou
une philosophie du sujet, des propos précieux pour la phénoménologie. Simondon
présente une philosophie « des moyens d individuation » au lieu de n importe
quelle idée de principe originaire (ou synthèse subjective). Donc, le complet intérêt
de Gilles Deleuze vis-à-vis l uvre de Simondon, en tant que « traversée » du
concept de subjectivité au concept d hecceité. Clôturant, la recherche se penchera
sur l uvre de Michel Tournier : « Vendredi ou les limbes du Pacifique », et sur
l importânce de ce texte pour qu on puisse présenter le personnage « Robinson »
de Tournier comme exemple net de deux perspectives : la phénoménologique
husserlienne où il y a un procés constitutif de donation de sens à l île de
Speranza, voie conscience originaire, et la contre-phénoménologique
deleuzienne à partir de la dissolution de la forme-je commo synthèse unificatrice
du sens, et de l éablissement de l île de Speranza comme champ d immanence
pur, absolu et non-subjectif.