dc.creatorGonzalez Aleman, Marianne Paloma
dc.date.accessioned2018-03-20T18:32:00Z
dc.date.available2018-03-20T18:32:00Z
dc.date.created2018-03-20T18:32:00Z
dc.date.issued2016-01
dc.identifierGonzalez Aleman, Marianne Paloma; La Marche sur Buenos Aires de 1935. Fraude électorale et mobilisation de masse au temps de la crise de la démocratie; Presses de la Fondation nationale des sciences politiques; Vingtieme Siecle; 129; 1-2016; 109-121
dc.identifier0294-1759
dc.identifierhttp://hdl.handle.net/11336/39389
dc.identifierCONICET Digital
dc.identifierCONICET
dc.description.abstractLa tenue inédite d’une grande marche de plus de cent mille personnes à Buenos Aires en 1935, qui fait écho à la Marche sur Rome de Mussolini en 1922, est révélatrice de la manière dont la crise des démocraties libérales s’exprime dans l’Argentine des années 1930. Organisée comme une démonstration de force des vrais patriotes et de l’élite du corps civique par le Parti démocrate national au pouvoir, face à l’Union civique radicale, perçue comme un parti plébéien, la Marche sur Buenos Aires témoigne de la nécessité pour les conservateurs argentins de légitimer leur accaparement du pouvoir politique, par la fraude électorale, en recourant eux aussi à des pratiques de mobilisation populaire.
dc.languagefra
dc.publisherPresses de la Fondation nationale des sciences politiques
dc.relationinfo:eu-repo/semantics/altIdentifier/url/https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2016-1-p-109.htm
dc.rightshttps://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ar/
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/restrictedAccess
dc.subjectArgentine
dc.subjectÉlections
dc.subjectMobilisation de masse
dc.subjectManuel Fresco
dc.titleLa Marche sur Buenos Aires de 1935. Fraude électorale et mobilisation de masse au temps de la crise de la démocratie
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/article
dc.typeinfo:ar-repo/semantics/artículo
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/publishedVersion


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